Je t’apporte un éclat d’un monde oublié dont les joies et les rêves sont enfouis sous les ans.
Fiché dans ton âme perdue, il te ramène sur ces terres que tu as désertées.
Enfin tu te souviens des joies, enfant tu oublies les peines.
A peine perdue, cet éclat t’illumine.
Tandis que tu bâtis les châteaux de ta colère, te souviens-tu de toi ?
Enfin tu t’abandonnes, tu peux être là, toi.